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106. (1867) La morale de Molière « CHAPITRE III. L’Honnête Homme. » pp. 42-64

On sent une joie sincère à voir Eliante, par sa grâce sereine, apporter à la rude vertu d’Alceste cet adoucissement de la vraie politesse, qui n’est autre que la fleur de la charité.

107. (1867) La morale de Molière « CHAPITRE XII. Réflexions Générales. » pp. 241-265

Présenter des images très délicates et en même temps très pratiques de l’honnêteté la plus élevée, de l’amour le plus naturel et le plus pur, c’est évidemment rendre service aux hommes et leur insinuer doucement le sentiment de la joie intime et de la dignité que produit le noble usage de leurs facultés.

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