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130. (1911) L’Étourdi de Molière et Le Parasite de Tristan L’Hermite (De Jodelle à Molière) pp. 292-302

Ailleurs, mécontent de Barbieri, Molière l’abandonne pour quelques instants et remplace ses inventions soit par des inventions personnelles, soit plutôt par des emprunts faits à d’autres auteurs : italiens, français ou espagnols, peu lui en chaut.

131. (1725) Vie de l’auteur (Les Œuvres de Monsieur de Molière) [graphies originales] pp. 8-116

Ces Pieces étoient dans le goût Italien, & Moliere en avoit deux entre autres que tous les spectateurs en Languedoc, jusqu’aux personnes les plus serieuses, ne se lassoient point de voir representer. […] La Salle du petit Bourbon lui fut accordée pour y jouer alternativement avec les Italiens. […] Faut-il que ces Farceurs d’Italiens nous enlevent tout Paris ? […] ajoûtoit M. le Duc de ***, le pauvre homme extravague : il est épuisé ; si quelque autre Auteur ne prend le Theâtre, il va tomber : Cet homme-là donne dans la Farce Italienne. […] Quinaut se chargea de tout ce qui devoit être chanté à la reserve de la plainte Italienne dont on m’a dit que les paroles furent fournies par Lulli.

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