Corneille, imprimée en 1655*, qui comprend : Le Cid, Horace, Cinna, Polyeucte, La Mort de Pompée, Le Menteur et La Suite du Menteur. […] Ces deux épigrammes se trouvent imprimées à la tête de l’édition que les Elzevier ont faite de la pièce ; M. […] Il n’appela pas du jugement du public, il ne fit pas même imprimer sa pièce, quoiqu’il y eût des traits qu’il jugea dignes d’être insérés dans d’autres piècesa ». […] « [*]Cette lettre mériterait d’être imprimée en entier. […] Quoique la Fête de Versailles en 1664, dans laquelle la comédie-ballet de La Princesse d’Élide entra, soit non seulement imprimée dans toutes les éditions des Œuvres de Molière, mais encore séparément, nous avons cru cependant ne pouvoir nous dispenser d’en rapporter quelques détails, surtout ceux qui ont rapport à la pièce qui fait le sujet de cet article, et à l’histoire que nous traitons ; mais nous abrégerons le plus qu’il nous sera possible.
Si quelque biographe imprimait aujourd’hui cette phrase dans une vie de Louis XIV : « Le 1er novembre 1661, le roi nomme pour gouvernante de M. le Dauphin, une des personnes de la société représentée par Molière, dans ses Précieuses ridicules, et bafouée par le public depuis deux ans », ne croirait-on pas que cet écrivain est tombé en imbécillité ou en démence ?