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156. (1800) De la comédie dans le siècle de Louis XIV (Lycée, t. II, chap. VI) pp. 204-293

Quoi qu’il en soit, ce Cotin était un homme très-savant, qui d’abord n’eut d’autre tort que de vouloir être orateur et poète à force de lectures, et de croire qu’il suffisait d’entendre les anciens pour les imiter : c’est ce qui nous valut de lui de fort mauvais ouvrages.

157. (1900) Molière pp. -283

Ainsi, dans nos desseins l’une à l’autre contraire, Nous saurons toutes deux imiter notre mère ; Vous, du côté de l’âme et des nobles désirs, Moi, du côté des sens et des grossiers plaisirs ; Vous, aux productions d’esprit et de lumière, Moi, dans celles, ma sœur, qui sont de la matière25. […] Il y a toujours eu, chez les hommes, une tendance à imiter dans leur maison le gouvernement de l’État.

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