/ 219
13. (1867) La morale de Molière « CHAPITRE II. La Débauche, l’Avarice et l’Imposture ; le Suicide et le Duel. » pp. 21-41

Surtout, quelle hardiesse et quelle vérité dans la leçon, venant de tout en bas au grand seigneur si haut placé, par la bouche du mendiant contre qui sa corruption échoue ! […] Ce n’est pas le lieu d’apprécier au point de vue littéraire cet étonnant chef-d’œuvre, considéré non sans raison comme le suprême effort de la haute comédie77. […] Et au milieu du rire que soulève la scène des mains 94, celle de la tache d’huile et du haut de chausses troué, n’y a-t-il pas un grand sentiment de mépris et de pitié pour celui qui se laisse tomber si bas ? […] « Sous prétexte de condamner l’hypocrisie ou la fausse dévotion, cette comédie donne lieu d’en accuser indifféremment tous ceux qui font profession de la plus solide piété. » (Ordonnance de l’archevêque de Paris citée plus haut.) […] Voilà ce qu’ils ont prétendu, exposant sur le théâtre, et à la risée publique, un hypocrite imaginaire, ou même, si vous voulez, un hypocrite réel, etc… Damnables inventions pour humilier les gens de bien, pour les rendre tous suspects, etc. » (Bourdaloue, Sermon cité plus haut.

14. (1867) La morale de Molière « CHAPITRE VI. Les Femmes. » pp. 103-120

Quoique cette présomption soit séduisante, j’aimerais mieux voir ici une idée plus haute. […] Les Femmes savantes, voir plus haut, chap. […] Voir plus haut, chap. […] Voir plus haut, p. 110. […] Voir plus haut, chap.

/ 219