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142. (1809) Cours de littérature dramatique, douzième leçon pp. 75-126

Mais comme on s’y prend toujours avec douceur lorsqu’on veut se moquer de soi-même, il donne à son héros, à côté d’une aimable folie, de l’esprit, un caractère noble et un bon cœur : ménagement délicat, qui n’est pas trop favorable à la franche gaîté comique. […] Ils avaient bien raison de combattre en désespérés, car si cette pièce avait réussi, c’en était fait peut-être des saintes unités, et de ce lion goût qui veut que l’on sépare à jamais la peinture des héros de celle des gens du peuple.

143. (1885) Revue dramatique. Le répertoire à la Comédie-Française et à l’Odéon (Revue des deux mondes) pp. 933-944

« La terre s’ouvre et l’abîme, » est-il écrit, au moment que le héros de Molière donne la main au Commandeur : ne le rendra-t-elle jamais ?

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