Ce n’est pas, je le répete, que le grand monde n’ait ses intrigues : ses héros, sans parler de ceux qui déshonorent leur rang, s’ingénient continuellement, les uns pour supplanter un rival en faveur auprès du maître, les autres pour se souffler des amants ou des maîtresses ; ceux-ci pour se mystifier, ceux-là pour se faire des noirceurs atroces.
Elle est plus ou moins mauvaise, selon que ces personnages, tout en faisant mouvoir les ressorts de la machine, servent plus ou moins à démasquer le héros.