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70. (1843) Épître à Molière, qui a obtenu, au jugement de l’Académie française, une médaille d’or, dans le concours de la poésie de 1843 pp. 4-15

Grâce à toi le bouffon est presque le sublime, Et l’homme entier respire en ces cadres légers, De ton malin pinceau caprices passagers, Comme en ces grands tableaux pleins d’images si vives, Des mœurs de ton époque admirables archives.

71. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XII » pp. 100-108

Quelle imagination n’a été frappée du récit de ces fêtes somptueuses et magiques où le jeune roi n’était pas simple spectateur et qu’il embellissait par son grand air, sa bonne grâce, et sa galanterie !

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