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126. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XII. » pp. 251-273

Comme c’est tout ce qui nous en reste, nous ne pouvons savoir si Moliere lui est redevable de quelque chose ; mais nous allons reconnoître dans l’Amour Médecin, de l’italien, du Boursault, du Cyrano, du Térence ; le tout élagué, étendu, ou corrigé avec discernement, & encadré avec goût. […] Si Moliere a su imiter en homme de goût ses prédécesseurs, M.

127. (1885) Revue dramatique. Le répertoire à la Comédie-Française et à l’Odéon (Revue des deux mondes) pp. 933-944

Est-ce, d’aventure, que MM. les sociétaires, égarés par l’esprit de curiosité ou par le faux goût, sacrifient Corneille et Racine à des classiques secondaires, à des primitifs ou à des épigones ? […] Est-ce le méchant goût du public, enfin, qu’il faut charger de tout le péché ?

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