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131. (1862) Molière et ses contemporains dans Le Misanthrope (Revue trimestrielle) pp. 292-316

Gardons-nous toutefois d’exagérer la portée de ce document au profit du sujet qui nous occupe ; nous ne le citons ici que comme un curieux rapprochement.

132. (1882) L’Arnolphe de Molière pp. 1-98

s’il n’est un grotesque ; parce qu’un amoureux véritablement éperdu, et, par conséquent, touchant, lié proposera pas de s’arracher un côté de toupet, laissant à entendre qu’il désire garder l’autre côté pour une autre occasion ; parce qu’en un mot le paroxysme de la passion-, qui offre toujours deux faces la face ridicule et la face sublime, nous dévoile ici, de par la volonté de Molière, la face ridicule, et ainsi vous serez forcé de dire au comique : …A mon amour, rien, ne peut s’égaler.  […] Mais pour cela, je le répète, il faudrait qu’Arnolphe fût un autre homme. ; tel que nous l’a offert Molière, il n’y a point pour lui de lendemain ; butor il est, butor il restera ; et d’ailleurs, si jamais Horace est négligent d’Agnès, l’Amour, ce grand maître, saura bien enseigner à sa charmante écolière l’art de le reconquérir et de le garder.

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