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111. (1663) Nouvelles nouvelles pp. 210-243

Mais comme il n’était encore ni assez hardi pour entreprendre une satire, ni assez capable pour en venir à bout, il eut recours aux Italiens, ses bons amis, et accommoda les Précieuses au Théâtre Français, qui avaient été jouées sur le leur et qui leur avaient été données par un Abbé des plus galants. Il les habilla admirablement bien à la française et la réussite qu’elles eurent lui fit connaître que l’on aimait la satire et la bagatelle.

112. (1922) La popularité de Molière (La Grande Revue)

Et pourtant, un pénétrant critique, Stapfer, a écrit, sans paradoxe, tout un livre où il compare l’Anglais et le Français et les met sur le même plan intellectuel. […] En tous les pays, on le joue, tantôt en français, tantôt en l’adaptant plus ou moins heureusement au goût local.

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