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237. (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [80, p. 121-126] »

Cloris, qu’on vante si fort, M’aime d’une ardeur fidèle ; Si ses yeux voulaient ma mort, Je mourrais content pour elle.

238. (1867) La morale de Molière « CHAPITRE IX. De l’Adultère et des Amours faciles. » pp. 166-192

Présenter l’adultère comme une chose réjouissante, fort supportable, et qui peut même avoir quelque avantage605 ; couvrir de ridicule les victimes de ce malheur606 ; rendre toutes gracieuses les femmes infidèles, et leurs amants tout séduisants607 ; leur donner des charmes tels que le spectateur ne peut s’empêcher de les applaudir et de rire avec eux de leur succès608, c’est une œuvre immorale et sans excuse609. […] Quelque fort qu’on s’en défende, Il faut y venir un jour ; Il n’est rien qui ne se rende Aux doux charmes de l’amour625. […] Il protestait que ce livre n’avait jamais fait sur lui, en l’écrivant, de mauvaises impressions, et il ne comprenait pas qu’il pût être si fort nuisible aux personnes qui le lisaient. » H.

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