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34. (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [76, p. 115-117] »

Molière décida qu’il fallait conserver la première façon : « Elle est, leur dit-il, plus naturelle ; et il faut sacrifier toute régularité à la justesse de l’expression : c’est l’art même qui doit nous apprendre à nous affranchir des règles de l’art. » Molière était alors de leur société, dont étaient encore La Fontaine et Chapelle, et tous faisaient de continuelles réprimandes à Chapelle sur sa passion pour le vin.

35. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXV. » pp. 500-533

Le Malade Imaginaire, comédie ballet, en trois actes, en prose, comparée avec plusieurs scenes italiennes ; le Médecin volant de Boursault ; le Paysan qui avoit offensé son Seigneur, Conte de la Fontaine ; la Foire des Poëtes, comédie. […] Le premier intermede du Malade est imaginé en partie d’après un conte de la Fontaine. […] Cette anecdote paroît avoir donné naissance au conte que la Fontaine a mis en vers.

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