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132. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VIII. » pp. 144-179

La noce finit de bonne heure, & les nouveaux mariés demeurerent seuls. […] Elle lui répondit par deux ou trois révérences ordinaires qui ne finirent que lorsqu’il lui fit faire deux ou trois tours de chambre ; ce qu’elle fit par hasard de si bon air, sa beauté naturelle & son air de Pallas y contribuant beaucoup, que le trop fin Grenadin en demeura charmé.

133. (1901) Molière moraliste pp. 3-32

parce qu’un homme s’avise de nous épouser, il faut d’abord que toutes choses soient finies pour nous et que nous rompions tout commerce avec les vivants ! […] Pour sauver sa liberté, elle usera de tous les artifices, elle ne reculera devant aucune démarche, aucun mensonge, et finira même par se plaire à ce jeu, au point de nous choquer.

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