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16. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE II. » pp. 20-52

Enfin, Polidore parle du mariage secret de son fils avec Lucile ; Albert sort d’un trouble pour rentrer dans un autre. […] Ils frappent à la porte du Docteur, qui, n’ayant point vu son fils depuis la plus tendre enfance, croit le reconnoître dans Arlequin. […] Donc encore une fois, Maître, c’est la troisieme, Mon fils me rend chagrin. […] Eh bien donc, votre fils ?... […] Eh bien donc, votre fils ?...

17. (1821) Sur le mariage de Molière et sur Esprit de Raimond de Mormoiron, comte de Modène pp. 131-151

Elle en eut cependant un fils, né vraisemblablement en 1630, qui fut nommé Gaston par Monsieur, duc d’Orléans, et qui porta le titre de baron de Gourdan. […] Il eut de cette femme une fille qu’il fit baptiser le 11 juillet 1658 sous leur nom à tous deux, et qu’il fit tenir sur les fonts par son fils Gaston, âgé d’environ sept ans, et représenté par son beau-frère l’Hermite de Vauselle8. […] Le principal objet des attachements de cette fille était le fils d’un tapissier, qui formait une troupe de comédie en 1645. […] Le comte de Modène, ainsi débarrassé d’une famille qui lui était devenue presqu’étrangère, s’occupa principalement de son fils, jeune homme plein d’esprit et de mérite, dont on admirait la facilité à s’exprimer, mais qui malheureusement mourut fort jeune12. […] Le vieux Bejard, devenu procureur, était mort, ainsi que son fils aîné, ce qui facilita vraisemblablement la conclusion.

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