Molière en était justement irrité ; et l’on peut croire que, lorsqu’il consentit à faire Le Festin de Pierre, le désir de tirer quelque vengeance de ses ennemis, rendit plus facile sa condescendance pour le vœu de ses camarades.
Tout au plus leur reprocherai-je une résignation trop facile au fâcheux état que je signale.