Les clabauderies perpétuelles de ces politiques subalternes, leurs impertinentes réflexions, peuvent s’accréditer peu-à-peu dans l’esprit du peuple, & devenir dangereuses. […] Mais il nous faudroit un Aristophane qui eût l’esprit souple, adroit, délié ; qui eût de la gaieté, de l’imagination ; qui sût donner une tournure plaisante aux choses & les fondre dans un plan ; & qui, pour ne pas blesser nos loix & celles de l’honnêteté, ne dit pas tout cruement à ses héros, vous êtes des frippons.
Une juste colere m’occupe l’esprit. […] Si elle a pour objet les trois opérations de l’esprit, ou la troisieme seulement ?