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143. (1900) Quarante ans de théâtre. [II]. Molière et la comédie classique pp. 3-392

Il y avait là quelque chose qui ne m’entrait pas dans l’esprit : c’est Henri Lavoix, un des plus fins érudits de ce temps-ci, qui m’a résolu la difficulté et découvert le pot aux roses. […] C’est un régal de lettrés ; la foule n’y entrera que plus malaisément. […] On se retirait de l’amour juste à l’époque où nous venons d’y entrer. […] Arnolphe n’a pas fait entrer l’amour en ligne de compte, ou plutôt il a cru sottement que l’amour lui amènerait à lui, quadragénaire, cette fillette de seize ans. […] Mais, avant d’entrer en matière, je supplierai instamment mes lecteurs de ne point voir, dans les observations qui vont suivre, une critique de ce qu’a fait M. 

144. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XII. Des Pieces intriguées par une Soubrette. » pp. 135-150

Isabelle y consent : tout est si bien disposé par la fine Soubrette, qu’Accante voit entrer le Marquis dans l’appartement de sa maîtresse.

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