L’apologue de La Fontaine tient à l’épopée par le récit, au genre descriptif par les tableaux, au drame par le jeu des personnages et la peinture des caractères, à la poésie gnomique par les préceptes.
C’étoit César qui faisoit ce voeu ; il gémissoit, il séchoit de dépit, maceror, de voir que cela manquoit à des drames d’une élocution si parfaite. […] Il ne manque à ses pieces dans beaucoup d’endroits, que l’atrocité des événemens pour être tragiques, & l’importance pour être héroïques : c’est un genre de drames presque mitoyen.