En lisant un drame comique ou tragique, elle ne consulte pas ce qu’il devait être et l’idée d’après laquelle les philosophes le jugeront, mais ce qu’il est et l’impression qu’elle en reçoit. […] Elle n’avait encore ni observé ni éprouvé les sentiments raffinés qui composent le tissu de ce drame émouvant.
« Ses drames, dit Plutarque, sont assaisonnés de sel ; mais il est amer, âcre, cuisant, ulcérant ».