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122. (1884) Tartuffe pp. 2-78

Il y avait vingt ans qu’un archevêque de Paris avait refusé à Molière «  le doux, l’aime, le désiré baiser de la terre ». […] Il y a un fils, cela est fâcheux ; mais un fils petit-maître, vif, éventé, qui donne dans le monde et la dépense ; on en viendra à bout ; la fille est discrète et parle doux ; une fille suivante, bien en point, la gouverne ; un certain beau-frère, qui tranche du prud’homme, est peut-être à considérer ; mais on aura contre lui, pour alliée fidèle, la grand’mère, une bourgeoise du bon temps, brusque et grouillante, dévote à souhait, parlant ferme et tout son soûl, reprenant, grondant, la tête près des coiffes et la main haute.

123. (1800) De la comédie dans le siècle de Louis XIV (Lycée, t. II, chap. VI) pp. 204-293

Mais d’un plus doux esprit….. […] Il était d’un caractère doux et de mœurs pures : on raconte de lui des traits de bonté. […] Il était alors brouillé avec Racine : ce moment dut être bien doux à Molière.

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