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111. (1871) Molière

Corneille écrit Le Menteur, et les trois derniers actes du Cid merveilleux, qui tourne, comme on sait, à la comédie, après nous avoir remplis des plus grandes émotions tragiques. Par Montaigne et par Rabelais, l’auteur des Précieuses ridicules appartient aux derniers jours du seizième siècle.

112. (1862) Corneille, Racine et Molière (Revue chrétienne) pp. 249-266

Qu’on nous laisse jouir en paix de ce frisson de volupté qui pénètre l’âme et l’enivre lorsque d’un coup d’aile, le poète nous enlève avec lui jusqu’aux dernières profondeurs du monde idéal, où règne l’harmonie éternelle. […] Rambert relève d’autres traits, plus noirs encore, de l’ingratitude de Racine envers ceux qui avaient été ses premiers et devaient être ses derniers amis.

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