Le rôle de la malade, celui de la fausse et caresseuse Lucinde, celui du traître Faussinville, sont très bien faits ; tous les détails sont charmants.
Jusqu’ici la littérature s’est attachée à l’étude des accidents, sans regarder le fonds commun qui les supporte, — au détail des maladies, sans étudier le malade lui-même, l’homme.