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129. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIII. » pp. 436-488

Nous parlerons peu du dénouement.

130. (1892) Vie de J.-B. P. Molière : Histoire de son théâtre et de sa troupe pp. 2-405

Au panégyrique de Louis XIV, qui se trouve au dénouement de Tartuffe, les comédiens étaient obligés de substituer ces vers composés par Cailhava : Remettez-vous, Monsieur, d’une alarme si chaude. […] L’épisode de notre histoire qui touchait à son dénouement, la Fronde, ressemblait à quelque combinaison grandiose de la Commedia dell’arte. […] Tous deux, le marquis et le vicomte, mêlent du reste à leur galanterie extravagante certains traits qui laissent deviner la mascarade ; ils se montrent l’un et l’autre assez impudents et insupportables pour faire souhaiter les coups de bâton du dénouement. […] Il n’avait pas fallu se mettre en grande dépense d’imagination pour inventer cette histoire ; on n’avait fait que prendre tout simplement le dénouement de L’École des maris, et l’appliquer à son auteur.

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