Nous parlerons peu du dénouement.
Au panégyrique de Louis XIV, qui se trouve au dénouement de Tartuffe, les comédiens étaient obligés de substituer ces vers composés par Cailhava : Remettez-vous, Monsieur, d’une alarme si chaude. […] L’épisode de notre histoire qui touchait à son dénouement, la Fronde, ressemblait à quelque combinaison grandiose de la Commedia dell’arte. […] Tous deux, le marquis et le vicomte, mêlent du reste à leur galanterie extravagante certains traits qui laissent deviner la mascarade ; ils se montrent l’un et l’autre assez impudents et insupportables pour faire souhaiter les coups de bâton du dénouement. […] Il n’avait pas fallu se mettre en grande dépense d’imagination pour inventer cette histoire ; on n’avait fait que prendre tout simplement le dénouement de L’École des maris, et l’appliquer à son auteur.