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96. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XX. Des Unités. » pp. 352-366

D’ailleurs, en supposant que les actions de nuit manquent de vraisemblance dans la rue, la critique n’a plus lieu lorsque la scene se passe dans l’intérieur d’une maison, parcequ’il est très ordinaire & très vraisemblable qu’on y agisse après le soleil couché. […] Indépendamment de ses ouvrages dramatiques, nous avons de lui une histoire raisonnée du Théâtre Italien, depuis la décadence de la Comédie Latine jusqu’à son siecle ; un poëme italien sur la déclamation ; des observations sur la comédie & sur le génie de Moliere, ouvrage dont il est souvent question dans celui-ci ; des réflexions historiques & critiques sur les différents Théâtres de l’Europe, avec des pensées sur la déclamation ; un ouvrage intitulé la Réformation, dans lequel il a souvent des vues qui seroient tout-à-fait opposées au goût de notre siecle.

97. (1844) La fontaine Molière (La Revue indépendante) pp. 250-258

Mais cet enthousiasme peut-il et doit-il tenir devant une critique impartiale et sérieuse, qui cherche à s’appuyer sur les principes de l’art ? […] Il est du devoir de la critique de protester contre cette haute inconvenance.

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