Il m’en fût revenu, m’assurera-t-on, un peu d’indulgence pour certaines assertions qui, faute de ce modeste aveu, m’ont valu d’assez vives critiques. […] En outre, quand il composa Tartuffe, c’est-à-dire ou vers la fin de 1663 ou dans les premiers mois de 1664, il était dans toute la chaleur de sa victoire de l’École des femmes ; il avait, avec la Critique, avec l’lmpromptu, battu les marquis, les pédants, les prudes, les comédiens : il lui restait les dévots à vaincre ; et comptant sur Louis XIV, il est probable qu’il ne s’y était pas épargné. […] Ce critique zélé qui contrôlait tout, sortait pour lui de Port-Royal. […] Son rôle, ajoute l’imaginatif critique, n’est pas du tout un rôle comique ; Userait aisément terrible et il l’est un moment, malgré les efforts de Molière pour modérer la situation… Tartuffe est l’athée en rabat noir ».
Voltaire, dans son Commentaire sur Corneille, a relevé comme grossier, un mot employé par l’auteur dans une épigramme contre Scudéry, qui à la suite de quelques débats à l’occasion de la critique du Cid, l’avait appelé en duel.