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155. (1910) Rousseau contre Molière

Il le lui dit sous le couvert d’une figure de rhétorique si limpide, si diaphane, qu’Oronte comprend du premier coup. […] Il prend pour des « maximes » et « maximes de fripon » les ironies de Philinte et ses coups d’épingles destinés à exciter Alceste et ses pinçades de pince-sans-rire. […] Ils ne vous écorchent pas tout d’un coup, ils commencent par vous tâter avec précaution, et quand ils vous ont trouvé de l’avis de M.  […] Moi, que je ne sois pas inébranlable aux coups du sort ! […] Qui ne serait pas un peu fâché si le filou venait à être surpris et à manquer son coup ?

156. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VIII. » pp. 144-179

Sous sa coeffe, en sortant, comme l’honneur l’ordonne, Il faut que de ses yeux elle étouffe les coups ;   Car, pour bien plaire à son époux,   Elle ne doit plaire à personne. […] « Non, dit-elle, vos yeux ont fait ce coup fatal, « Et c’est de leurs regards qu’est venu tout le mal ».

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