Il le lui dit sous le couvert d’une figure de rhétorique si limpide, si diaphane, qu’Oronte comprend du premier coup. […] Il prend pour des « maximes » et « maximes de fripon » les ironies de Philinte et ses coups d’épingles destinés à exciter Alceste et ses pinçades de pince-sans-rire. […] Ils ne vous écorchent pas tout d’un coup, ils commencent par vous tâter avec précaution, et quand ils vous ont trouvé de l’avis de M. […] Moi, que je ne sois pas inébranlable aux coups du sort ! […] Qui ne serait pas un peu fâché si le filou venait à être surpris et à manquer son coup ?
Sous sa coeffe, en sortant, comme l’honneur l’ordonne, Il faut que de ses yeux elle étouffe les coups ; Car, pour bien plaire à son époux, Elle ne doit plaire à personne. […] « Non, dit-elle, vos yeux ont fait ce coup fatal, « Et c’est de leurs regards qu’est venu tout le mal ».