Appelé récemment à desservir une chaire de littérature française dans une école, à la fois industrielle, savante et littéraire, fondée par la Confédération suisse à Zurich, il se sent pressé, dans cette position nouvelle, de travailler, selon la mesure de ses forces, à faire comprendre l’Allemagne par la France et la France par l’Allemagne. […] Les contemporains de Molière ont pu ne pas le comprendre; mais, aux yeux de la postérité, c’est Le Misanthrope qui donne à Molière l’autorité dont il a besoin.
On comprend dans quel trouble cette nouvelle résolution jette Ascagne, qui s’écrie : Ah, ma sœur !