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112. (1862) Corneille, Racine et Molière (Revue chrétienne) pp. 249-266

Appelé récemment à desservir une chaire de littérature française dans une école, à la fois industrielle, savante et littéraire, fondée par la Confédération suisse à Zurich, il se sent pressé, dans cette position nouvelle, de travailler, selon la mesure de ses forces, à faire comprendre l’Allemagne par la France et la France par l’Allemagne. […] Les contemporains de Molière ont pu ne pas le comprendre; mais, aux yeux de la postérité, c’est Le Misanthrope qui donne à Molière l’autorité dont il a besoin.

113. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE PREMIER. Du Choix d’un Sujet. » pp. 25-38

On comprend dans quel trouble cette nouvelle résolution jette Ascagne, qui s’écrie : Ah, ma sœur !

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