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79. (1900) Quarante ans de théâtre. [II]. Molière et la comédie classique pp. 3-392

Il en sera de lui comme d’un autre, dont le masculin est resté dans la langue de la bonne compagnie : Un beau gars, un fier gars ! […] Il lui est impossible de ne pas regretter un peu et tout bas ces orages qu’elle n’a pas osé affronter de compagnie avec Alceste. […] Il restait de parfaitement bonne compagnie, même alors qu’il se donnait le léger ridicule de lire un sonnet médiocre. […] Est-ce de ce ton que l’on parle à une dame de compagnie ? […] C’est elle qui, chargée d’approcher des fauteuils pour la compagnie, donnera au fils de M. 

80. (1852) Molière, élève de Gassendi (Revue du Lyonnais) pp. 370-382

Pour moi, par un malheur, je m’aperçois, Madame, Que j’ai, ne vous déplaise, un corps tout comme une âme; Je sens qu’il y tient trop pour le laisser à part : De ces détachements je ne connais point l’art, Le ciel m’a dénié cette philosophie, Et mon âme et mon corps marchent de compagnie.

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