Les Comiques ont jusqu’ici employé trois manieres pour remplir ou pour alonger leurs pieces à caractere par le secours des épisodes. […] De nos pieces voilà la peinture comique : Les détails, ce sont les brillants ; Et le fond, c’est la femme étique.
Nous avons, je pense, suffisamment fait voir, dans le second volume, que le genre larmoyant & romanesque est inférieur au genre vraiment comique, & beaucoup plus aisé. […] Grace à la revue que nous venons de faire dans ce volume, les Comiques qui ont figuré sur la scene, depuis Moliere jusqu’à nous exclusivement, ne pourront pas reprocher au pere de la comédie ses imitations.