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153. (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre premier. Ce que devient l’esprit mal dépensé » pp. 1-92

« Il faut avouer que Molière est un grand poète comique. […] Il a gardé son secret et nul encore ne l’a deviné. — C’est ainsi que le poète comique est créateur ! […] Molière ne riait guère ; il était un contemplateur comme le sera toujours le vrai poète comique. […] La politesse du marquis, l’étonnement mêlé de peur du bourgeois, sont du plus haut comique. […] Sans doute, ce n’est point le style de Molière ; mais quel poète comique a écrit comme Molière ?

154. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IX. M. PALISSOT. » pp. 297-316

C’est une des meilleures histoires du livre, & peut-être la gaieté françoise n’a-t-elle rien imaginé de plus comique dans ce genre. […] On s’occupe du projet de faire réussir le comique larmoyant. […] Non, parbleu, continua le rieur, ce mot d’être est trop comique, & je rirai long-temps d’une mere qui prend sa fille pour un arbre.

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