La raison en est bien simple : l’amour est la base, le fondement, & l’une des machines principales de toutes les comédies. […] Au reste, si le spectateur veut qu’on lui présente d’abord un amour bien établi, il en est ainsi de tous les autres principaux ressorts de la comédie : il n’aime à voir naître & détruire que ceux qui, en se croisant, en se succédant mutuellement, redoublent le mouvement des grandes machines.
En la déshéritant de ta gaîté hardie, Pour la première fois pleurer la Comédie ! […] L’un vous dira comment, suppléant à la loi, La Comédie au vice inspire un juste effroi ; L’autre comment les Arts, pour glorieux salaire, Décernent au génie un culte populaire, Et, fiers de partager l’encens de ses autels, En l’immortalisant deviennent immortels. » fin.