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10. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXIV » pp. 394-401

Il y a des larmes, des chagrins naturels, des gaîtés affectées, des bouderies ; enfin, ma chère, tout finit. […] alternatives grossières d’appétits et de dégoûts du côté du roi ; de futiles jouissances et de chagrins avilissants du côté de madame de Montespan ; un jour on voit en elle la vanité contente d’imposer quelques heures de plus aux courtisans, par des apparences de faveur ; le lendemain ce sont de ridicules désespoirs ou tombe cette vanité par l’évidence de la disgrâce.

11. (1856) Les reprises au Théâtre-Français : l’Amphitryon, de Molière (Revue des deux mondes) pp. 456-

Quant aux chagrins du général thébain, il est probable qu’ils lui rappelaient ses propres chagrins.

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