Il y a des larmes, des chagrins naturels, des gaîtés affectées, des bouderies ; enfin, ma chère, tout finit. […] alternatives grossières d’appétits et de dégoûts du côté du roi ; de futiles jouissances et de chagrins avilissants du côté de madame de Montespan ; un jour on voit en elle la vanité contente d’imposer quelques heures de plus aux courtisans, par des apparences de faveur ; le lendemain ce sont de ridicules désespoirs ou tombe cette vanité par l’évidence de la disgrâce.
Quant aux chagrins du général thébain, il est probable qu’ils lui rappelaient ses propres chagrins.