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139. (1844) La fontaine Molière (La Revue indépendante) pp. 250-258

La beauté et le choix des matériaux, la forme triomphale de la façade du monument, l’exécution générale en tant que main-d’œuvre, les détails d’architecture et de sculpture soigneusement faits, enfin, comme considération vulgaire mais vraie, un édifice tout neuf, tout orné qui apparaît à la place d’une ignoble masure et de laides tentures de toile, toutes ces choses ne pouvaient manquer de flatter les yeux.

140. (1901) Molière moraliste pp. 3-32

Derrière les grilles, la personne humaine cesse d’être libre, la femme voit sa beauté se faner sans profit, son âme se dessécher ou s’abêtir. […] Harpagon, aux yeux duquel les deux mots « sans dot » en matière de mariage tiennent lieu « de beauté, de jeunesse, de naissance, d’honneur, de sagesse et de probité », se verra méprisé par un fils insolent qui bravera sa malédiction.

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