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229. (1816) Molière et les deux Thalies, dialogue en vers pp. 3-13

Le père des auteurs, c’est ainsi qu’on le nomme, Du vrai talent toujours le modèle et l’appui : Vous sympathiseriez, j’en suis sûre, avec lui. […] Picard), je ne lui connais de rival dans le dernier siècle que Lesage, dont les romans sont aussi des comédies, comme l’a fort bien observé l’auteur des deux Gendres.

230. (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [88, p. 132] »

1775, Anecdotes dramatiques, tome II, p. 93-94 Molière eut, comme les premiers farceurs, l’objet d’amuser et de faire rire ; mais par des moyens moins libres, et moins éloignés de la vraie comédie. « Je suis comédien aussi bien qu’auteur, disait-il, il faut réjouir la cour et attirer le peuple, et je suis quelquefois réduit à consulter l’intérêt de mes acteurs aussi bien que ma propre gloire. »

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