Reviens ici au moins par pitié. . . . […] Reviens ici, au moins par pitié, si ce n’est par amour.
Il est donc un fou, ou tout au moins un homme ridicule. […] Il falloit mettre à sa place un personnage qui réunît en quelque sorte le double intérêt d’amant & de mari, comme tous les Tuteurs de Moliere, & qui, en perdant une maîtresse infidelle, perdît au moins une somme considérable pour prix de sa curiosité, supposée impertinente par l’Auteur.