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100. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXII » pp. 355-377

Trente pages de La Beaumelle contiennent cette histoire presque toute dialoguée, à laquelle il ne manque que l’appui d’un témoignage quelconque, ou au moins de quelque indication conforme dans les correspondances du temps.

101. (1865) Les femmes dans la comédie de Molière : deux conférences pp. 5-58

La société est toujours divisée en deux moitiés, puisqu’enfin cette division est dans la nature ; mais l’une n’est plus moitié suprême et l’autre subalterne, comme le voulait Arnolphe ; elles vont au moins de pair aujourd’hui ; la toute-puissance n’est plus du côté de la barbe ; elle appartient plutôt à la moitié qui, généralement, n’en a pas. […] Tant de manèges et de ruses ne se comprendraient pas dans une fille ; ils scandaliseraient dans une femme mariée ; le veuvage sauve au moins les apparences.

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