Appelé récemment à desservir une chaire de littérature française dans une école, à la fois industrielle, savante et littéraire, fondée par la Confédération suisse à Zurich, il se sent pressé, dans cette position nouvelle, de travailler, selon la mesure de ses forces, à faire comprendre l’Allemagne par la France et la France par l’Allemagne. […] Il n’a pas l’air de penser que la nature, en leur donnant une intelligence aussi bien qu’aux hommes, les ait appelées par cela seul à la cultiver.
D’après cet oracle, le bel esprit de la société trace le plan, chacun y met quelque détail ; le précepteur de l’enfant de la maison transcrit ce qu’on appelle une piece, & s’admire : les auteurs la jouent ; vous jugez bien qu’ils la trouvent divine, c’est le mot, & digne de paroître sur le Théâtre François.