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146. (1821) Notices des œuvres de Molière (VI) : Le Tartuffe ; Amphitryon pp. 191-366

Un curé de Paris publia contre Molière un livre où sa comédie était qualifiée de diabolique, et lui-même appelé un démon vêtu de chair , digne de passer des bûchers de la justice humaine dans les brasiers de la vengeance divine. […] Dans son livre des Caractères, il oppose au Tartuffe de Molière, un autre hypocrite qu’il appelle Onuphre. […] Enfin, tandis que, au dénouement, l’Amphitryon latin, avec une pieuse résignation que nous appellerions une lâche insensibilité, déclare qu’un partage avec Jupiter n’a rien dont il puisse s’affliger, l’Amphitryon français dévore en silence ce glorieux affront, et, pour me servir des expressions mêmes du comique, n’avale qu’avec un extrême dégoût cette pilule que le seigneur Jupiter a si bien pris soin de dorer.

147. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VIII. » pp. 144-179

Mais peut-être il n’est point que vous n’ayez bien vu Ce jeune astre d’amour de tant d’attraits pourvu ; C’est Agnès qu’on l’appelle. […] C’est Agnès qu’on l’appelle. […] C’est Agnès qu’on l’appelle.

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