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120. (1747) Notices des pièces de Molière (1666-1669) [Histoire du théâtre français, tome X] pp. -419

Le sonnet n’est point méchant selon la manière d’écrire d’aujourd’hui, et ceux qui cherchent ce que l’on appelle pointes ou chutes, plutôt que le bon sens, le trouveront sans doute bon ; j’en vis même, à la première représentation de cette pièce, qui se firent jouer pendant qu’on représentait cette scène ; car ils crièrent que le sonnet était bon avant que le Misanthrope en fît la critique, et demeurèrent ensuite tout confus. […] Voilà ce qui s’appelle manier des scènes : voilà ce qui s’appelle travailler avec art, et représenter avec des traits délicats ce qui se passe tous les jours dans le monde. […] « Plus heureux dans le commerce de ses amis, il les rassemblait à Auteuil, dès que ses occupations lui permettaient de quitter Paris ou ne l’appelaient pas à la Cour. […] Despréaux dans son Lutrin *, s’appelait Didier l’Amour. […] Celle qui est à droite, en montant vers le château, s’appelle l’allée du Roi, et celle qui est à gauche l’allée des Prés.

121. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE III. Dufresny imitateur comparé à Moliere, à Champmeslé, son Mariage fait & rompu comparé à l’histoire véritable du faux Martin-Guerre, & à la nature. » pp. 81-99

Le Chevalier profite de son absence pour cajoler Catho : Manon les surprend, est jalouse, appelle son pere. […] Un instant après, Catho trouve Manon avec le Chevalier, est piquée à son tour, appelle aussi son pere : l’amant l’appaise ; & lorsque le Procureur accourt aux cris de sa fille, elle lui demande s’il veut dîner.

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