Balzac, Vaugelas et Voiture y entrèrent cette année.
C’est une vérité reconnue même des savants, j’entends les savants qui se piquent de quelque galanterie, que les années ont plus de douze mois pour les dames. […] Sans avoir vu son acte de naissance, je ne puis guère lui donner moins d’une trentaine d’années. […] La vérité partage avec le génie le privilège de ne vieillir jamais : aussi sa gloire populaire se rajeunit-elle avec les années. […] Lettre de madame de Staël publiée pour la première fois par M. le baron de Gérando, Mémoires de l’Académie impériale de Metz, année 1864.