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138. (1862) Corneille, Racine et Molière (Revue chrétienne) pp. 249-266

Monnard, qui joignait à une connaissance raisonnée de sa langue maternelle une connaissance approfondie des langues anciennes et de celles des principaux peuples de l’Europe, avait fait de ses cours une étude comparée des littératures diverses, l’expression des développements divers de la nature humaine. […] Le barde, dans les anciens âges, ne chantait pas seul.

139. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VI. Des Pieces à scenes détachées, dans lesquelles une Divinité préside. » pp. 61-74

Il veut acheter des almanachs, des curedents, des étuis pour un de ses anciens amis qui est fort pauvre, & qui ne lui est bon à rien ; mais il cherche un superbe cabinet de la Chine pour un homme nouvellement en faveur, sur la protection duquel il compte beaucoup.

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