[59, p. 96-98] Boileau lut sa deuxième satire adressée à Molière, à quelques amis parmi lesquels était notre illustre comique ; en achevant la lecture des quatre vers suivants : Mais un esprit sublime en vain veut s’élever À ce degré parfait qu’il tâche de trouver ; Et toujours mécontent de ce qu’il vient de faire, Il plaît à tout le monde et ne saurait se plaire.
Voici cette scène très courte que Voltaire nous a donnée, après l’avoir vue écrite de la main de Molière, entre les mains du fils de l’un des amis de notre auteur.