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184. (1873) Molière, sa vie et ses œuvres pp. 1-196

Ce petit acte contenait, en effet, douze fragments inédits ou peu connus, attribués à Molière avec une certaine vraisemblance. […] Il avait achevé les trois premiers actes de sa comédie. […] (Voir le fac simile autographié de l’acte découvert par Beffara, dans l’édition des Grands écrivains français de M.  […] Il y a, au troisième acte, une querelle entre M.  […] Élomire hypocondre, acte IV, scènei.

185. (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre X. La commedia dell’arte en France pendant la jeunesse de Molière » pp. 160-190

Nous nous bornerons à citer ce que ce dernier, homme d’esprit en même temps qu’artiste, dit à la scène septième de l’acte II de Colombine avocat pour et contre, où il essaye de donner une idée des talents mimiques de Scaramouche : « Après avoir raccommodé (mis en ordre) tout ce qu’il y a dans la chambre, Scaramouche prend une guitare, s’assied sur un fauteuil, et joue en attendant que son maître arrive. […] Dans « l’Explication des décorations du théâtre et les arguments de la pièce32 », imprimés en guise de livret, on remarque les ballets par lesquels chacun des trois actes se termine ; le premier est composé de « quatre ours et quatre singes, lesquels, au son de petits tambours, font une plaisante danse » ; le second est composé d’autruches, « lesquelles, s’abaissant à une fontaine pour boire, forment une danse » ; le troisième n’est pas moins ingénieux : « Cependant, dit le livret, arrive un Indien, lequel ayant fait la révérence au roi Nicomède, raconte que, parmi les marchandises qu’il conduisait dans son navire, il y avait cinq perroquets dont il lui faisait offre, et les fait apporter dans une cage. […] Scaramouche se donnait lui-même ces noms burlesques comme on le voit à la scène vii du Ier acte de Colombine avocat pour et contre, pièce représentée en 1685 ; la plupart de ces noms appartiennent à la tradition de la commedia dell’arte.

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