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76. (1863) Molière et la comédie italienne « Textes et documents » pp. 353-376

On pourrait toutefois trouver que leur destinée n’est point la même, puisque Epidicus gagne par son astuce la liberté, et que Chrisoforo, au contraire, engage la sienne ; ce qui, aux yeux de quelques-uns, pourrait rétablir les droits de la morale qu’on a tant accusé Plaute d’avoir méconnus.

77. (1732) Jean-Baptiste Pocquelin de Molière (Le Parnasse françois) [graphies originales] « CII. JEAN-BAPTISTE POCQUELIN. DE MOLIERE, Le Prince des Poëtes Comiques en France, & celebre Acteur, né à Paris l’an 1620. mort le 17. Fevrier de l’année 1673. » pp. 308-320

Quand il a voulu imiter les anciens, on voit qu’il les a sur-passez ; l’on en peut juger par son Amphitrion d’avec celui de Plaute, qui est pourtant une des meilleures Comédies de ce Poëte Latin.

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