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4. (1852) Molière, élève de Gassendi (Revue du Lyonnais) pp. 370-382

On ne peut prétendre que Molière soit impartial entre Alceste et Philinte, et qu’il se borne à représenter les hommes tels qu’ils sont avec leurs travers, leurs maximes et leurs excès opposés. Evidemment il penche pour Philinte, ce n’est pas Alceste, c’est Philinte qui est son sage. Il est vrai que Philinte, de même que Clitandre ou Chrysale, représente le bon sens et la vraie sagesse, en plus d’une occasion, contre certains travers et certains emportements du Misanthrope. […] Mais Molière n’approuve-t-il pas les maximes opposées de Philinte ? […] Qui vaut le mieux de cette noble et vertueuse indignation de ces haines vigoureuses d’Alceste contre les méchants, ou de cette indifférence morale de Philinte que Molière nous représente comme le plus haut degré de la sagesse ?

5. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXI. » pp. 420-425

Dialogue entre Philinte & Climene. Philinte. […] Philinte. […] Philinte. […] Philinte.

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