« La dernière fois qu’elle joua ce grand rôle avant son départ, elle obéissait à une demande collective que les collèges de Paris lui adressaient, chaque année, le jour de Saint-Charlemagne, et jamais elle ni Talma, n’avaient rien refusé à la pétition qui commençait assez souvent, par cette phrase à grand orchestre. — “Madame (ou Monsieur) vous qui avez vu, à vos pieds, un parterre de rois !” […] la voici : « Une coutume s’est introduite dans les théâtres de Paris, qui nous paraît une coutume stupide.
Disons hardiment que Baron semble s’être étudié à faire tout le contraire, puisque ses Adelphes sont très propres à corrompre les mœurs, à autoriser le libertinage, & qu’ils ont l’air barbare au milieu de Paris 25. […] (La scene est à Paris dans une salle de la maison de Julie.) […] On publia de même à Paris, lorsque la Coquette & l’Homme à bonne fortune y parurent, que ces deux pieces étoient de M. d’Alegre, & l’on donna l’Andrienne à un Jésuite. […] Baron place la scene à Paris.