Pour plus de détails, voyez la scène iv du premier acte de L’Étourdi de Molière ; l’imitation est des plus fidèles. […] » Excellent dénouement dont Molière n’a point profité, il est difficile de deviner pourquoi.
[69, p. 105] Rousseau*, de Genève, a dit : les mœurs ont changé depuis Molière ; mais le nouveau peintre n’a point encore paru.