[49, p. 81-82] 1705, Grimarest, p. 101 […] 1775, Anecdotes dramatiques, tome I, p. 559-560 Les hypocrites avaient été tellement irrités par le Tartuffe, que l’on fît courir dans Paris un livre abominable, que l’on mit sur le compte de Molière pour le perdre. […] 227 226. […] 227. Acte V, scène 1, v. 1500-1507.
[81, p. 127] Dans la moindre des comédies de Molière, dit Cailhava276, dans celles qu’on affecte de mépriser et d’appeler des farces, il y a plus de philosophie, plus de saine morale que dans toutes les larmoyantes productions du jour (I), (I) Sans même en excepter Misanthropie et Repentir, Pinto et l’Abbé de l’Epée. […] Cailhava Jean-François, dit de l’Estandoux (Estandoux, près de Toulouse, 1731 – Sceaux 1813) : écrivain français. […] Son œuvre majeure est l’Art de la comédie, quatre volumes qui tentent de fonder une théorie de la comédie sur le modèle moliéresque. À la fin de la première édition (1772) figurent les Causes de la décadence du théâtre, qui demandent la création d’un second Théâtre-Français et seront rééditées jusqu’en 1802, année où il publie aussi des Essais sur Molière. (DET, M de Rougemont, p. 277)