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79. (1867) La morale de Molière « CHAPITRE XII. Réflexions Générales. » pp. 241-265

Son idée morale de l’homme est complète : rien n’y manque, depuis la juste proportion des soins dus au corps jusqu’aux intimes et hautes obligations de l’âme intelligente envers Dieu. […]   Mais, d’autre part, Molière dit, avec beaucoup de raison834, que la masse des hommes n’est point appelée à n’avoir pour occupation unique que les choses qui regardent directement Dieu et le salut.

80. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVIII. » pp. 357-396

mon petit trou, mon mignon, je me recommande à toi, au nom de Dieu & de Saint Antoine de Padoue ! […] Liconide, qui a violé la fille d’Euclion, qui lui a fait un enfant, paroît : il voit le désespoir du vieillard, croit en être la cause, lui avoue qu’il est coupable, mais qu’un Dieu a causé son crime. Euclion trouve ce Dieu fort mal-honnête, le croyant la cause du vol qu’on lui a fait : il découvre enfin que sa fille a été violentée par Liconide.

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